L'esprit d'entreprendre vu par les jeunes

L’étude qualitative du Cesem pour comprendre comment les jeunes de moins de 35 ans, salariés et entrepreneurs, se représentaient l’esprit d’entreprendre, et leur perception de celui qui s’engage dans les affaires est assez édifiante. Si les jeunes salariés insistent sur les risques de l’entreprenariat, son aspect aventurier, les jeunes entrepreneurs, eux, ont une approche positive et plutôt citoyenne.

Le marocain et la grande distribution

A partir d’une précédente étude, menée auprès des clients de différentes classes sociales fréquentant plusieurs enseignes de la grande distribution à Rabat et à Salé, nous usons d’une première typologie des lieux et des comportements des consommateurs. La nouvelle enquête démontre que le prix et la proximité du lieu d’habitat, semblent importants dans les motifs de fréquentation des grandes surfaces.

Au royaume des entrepreneurs de la culture

Partant d’une étude inédite, menée par le Cesem, centre de recherche de hem, cet article révèle la physionomie du secteur culturel, paradoxalement balbutiant et en plein boom économique. Il en ressort une typologie sur le mode de management et des tendances de mutation et de continuité qui se profilent. La faible structuration du secteur, se traduit sur le terrain par des entreprises de petites tailles.

Le plan vu par les agriculteurs

Cette enquête du Cesem auprès de 79 acteurs dans le secteur agricole indique que le Plan Maroc Vert est peu connu par les principaux concernés, et que l’agrégation, concept clé de la stratégie, ne semble pas changer la perception dominante. Pour réussir, ce plan devrait passer d’abord par un processus de vulgarisation, de persuasion et de mise en confiance de tous les acteurs du secteur agricole.

La classe moyenne conjugée au féminin

La classe moyenne n’a de sens que lorsque les femmes sont partie prenante dans la société, dans l’économie au moins– à défaut du politique. Grâce aux réponses de l’enquête, nous tentons de cerner les contours sociologiques et symboliques de la femme appartenant à cette classe. Constat : à parcours professionnel égal, il lui reste à combler le déficit en pouvoir et s’acquitter du prix de sa promotion.

Les migrants, une force économique ?

Le questionnaire que nous avons élaboré, objet de cette étude, a été rempli sur le net par 754 migrants marocains. Majoritairement francophones, cultivés et intégrés économiquement, ils confirment qu’ils ne nourrissent aucun mythe du retour. Les migrants, eux, pratiquent allègrement le va-et-vient. Il s’agit d’une « creative class », potentiellement en mesure d’apporter dynamisme économique au Maroc.

Plus un sablier qu’une montgolfière

Qui appartient à la classe moyenne?Partant d’indicateurs de comportement, de revenus et de consommation, on tentera de cerner les contours exigus de cette catégorie. Puisant dans le milieu des cadres moyens et des fonctionnaires, à revenu et statut égal, l’appartenance dépendra de la situation du conjoint, du nombre d’enfants, du poids des dépendances familiales, du lieu de résidence, et de rentes.

Le Meccano désarticulé du social

Les financements publics sont les principales sources de financement du social au Maroc. Pourtant, l’échec est patent. Pourquoi ? Dans cette étude, basée sur l’analyse quasi exhaustive des données, et des interviews avec responsables et experts, les logiques parcellaires de ce financement, et les raisons pour lesquelles nous vous invitons à découvrir la machine n’est pas huilée.

Associations et transit de l'argent social

Dans cette étude, nous interrogeons des associatifs, membres et dirigeants, sur les comportements par rapport à la levée de fonds, la gestion financière en interne et la part allouée aux bénéficiaires. Les profils et attitudes en disent autant que les réponses et non-réponses. Le constat est l’émergence de structures, dédiées au social certes, mais peu organisées et peu professionnelles.

Bourse de casablanca : Perceptions

Dans cette étude de terrain réalisée entre septembre et octobre 2007, une équipe d’enquêteurs a remis un questionnaire restreint, entre les mains de quelque 400 personnes, interviewées à Casablanca. Objectif, mesurer ce que des particuliers pensent de la place boursière de la capitale économique. Résultat : confiance oui, mais des actions sont souhaitables pour augmenter et élargir ce capital.

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