Vers des sciences du management impliquées et stylisées ?
La capacité des sciences de management à produire des connaissances améliorant les pratiques managériales est mise en cause. Des « puristes » contestent même leur qualité de « sciences ». Ces débats signifient soit la nécessité d’une épistémologie spécifique (Martinet, 1990), soit l’abandon de certains fondements épistémologiques généraux. L’article qui suit présente deux catégories contemporaines qui montrent la variété des articulations possibles.