Liberté et surveillance

Depuis le déclenchement de l’affaire NSA sur la complicité des multinationales d’information (Google, Youtube, Facebook, etc.) et les Etats démocratiques en mal d’information sur leurs citoyens prétendument libres, plusieurs semblent à peine découvrir la face cachée des réseaux sociaux. Voilà qui permet de nous sortir de l’idyllisme post-2011, où Facebook et Twitter sont devenus abusivement des synonymes dans le virtuel de « quartiers généraux des révolutionnaires ». Non que l’expression soit fausse, mais partiellement vraie.