Activités informelles et crise sanitaire
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Activités informelles et crise sanitaire

A l’instar de nombreux pays en développement, la crise sanitaire en cours n’a pas manqué de mettre à genoux de larges pans des populations et de l’économie marocaine.  Pour empêcher la propagation du coronavirus, le Maroc a imposé un confinement à la population. Les actifs du secteur informel et les salariés non protégés sont parmi les catégories qui en ont le plus pâtit.

Transparence, rente et justice fiscale

Transparence, rente et justice fiscale

La rente dote le pouvoir politique de moyens pour renforcer son emprise sur la société, et bâtir des relations d’alliance « objective », avec les catégories ou classes sociales bénéficiaires. Elle peut « se vendre au détail » puisque chaque détenteur d’une fraction de pouvoir, là où il « se situe », peut distribuer les « privilèges » qui relèvent de ses prérogatives et en retirer un avantage.
Par delà le légal et l'illégal

Par delà le légal et l'illégal

L’économie informelle au Maroc constitue environ 14 % du PIB, avec un chiffre d’affaires de près de 280 milliards de DH. 77 % des unités informelles se retrouvent en zone urbaine, dont plus de 57 % exercent dans le commerce. Définie en général comme souterraine ou parallèle, elle englobe aussi l’économie criminelle et les trafics de produits illicites. L’informel au Maroc est encore plus complexe.