Quelle coordination loin de l’exception marocaine ?

Quelle coordination loin de l’exception marocaine ?

La transition politique au Maroc n’a pas produit beaucoup d’idées en matière de réformes économiques. En attendant, le préalable à la cohérence d’ensemble des réformes économiques est celui de la correction des prix relatifs, le deuxième chantier concerne le déploiement des forces du marché pour une utilisation plus efficiente de la ressource humaine, le troisième est une restructuration des dépenses publiques
La dette d'aujourd'hui, les texes de demain

La dette d'aujourd'hui, les texes de demain

Pour répondre aux revendications sociales, les gestionnaires économiques ont privilégié d’augmenter les dépenses publiques de 7% du PIB. Cela signifie que, dès la prochaine loi des finances, des mesures d’ajustement devront être prises pour réalimenter les caisses de l’Etat (sous formes de coupes ou de taxes). Pour un pays comme le Maroc, n’aurait-il pas été plus sage d’accélérer les réformes politiques ?